Stage de récupération de point de pemis
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Stage de récupération de point de pemis
**Notre reporter a assisté à un stage de récupération de points de permis de conduire. Durant deux jours, il y a vu les participants, encadrés d'animateurs, échanger leur expérience de la route et partager leurs sentiments. Vidéo, images, statistiques et études d’accidents viennent balayer les a priori et parfois les idées reçues.
Pontoise (95), lundi matin, 8h15. Dans la fraîcheur matinale, un groupe fait les cent pas devant l’entrée d’un hôtel. Une seule femme au milieu de tous ces hommes. Nous sommes sur le perron du CER Bobillot qui organise des stages de récupération de points de permis de conduire. Les stagiaires sont relativement jeunes : entre 25 et 50 ans, et le jeans-baskets côtoie le costume-cravate. Chacun a payé 260 euros et attend, apparemment sans stress, l’arrivée des formateurs.
Justement une petite brune approche, sacoche à la main. Elle fait partie de l’organisation. Direction la salle de cours. Là, des tables en U font face à un rétroprojecteur et à un paper board. Loin de l’atmosphère nostalgique des bancs de l'école, la pièce - carrelage beige foncé et plafond parsemé d’ampoules nues - distille une ambiance plutôt froide, neutre pour le moins.
2 ANIMATEURS, 18 PARTICIPANTS
« Bonjour, je m’appelle Valérie et je suis votre formatrice. Désolée, mais on attend le second formateur et le directeur avant de commencer. Malgré les embouteillages, ils ne devraient plus tarder. » Dynamique, la jeune femme enchaîne sur les formalités du stage. Pragmatique, elle demande à chacun d'inscrire son prénom sur un chevalet. Le Directeur du Centre arrive enfin. Il récupère immédiatement les convocations et s’occupe de la paperasse pour que les stagiaires récupèrent leurs 4 points sur leur permis de conduire dès la fin du deuxième jour. L’ambiance commence à se détendre et chacun entame la conversation avec son voisin.
Un homme d’une quarantaine d’années, cheveux grisonnants, entre en s’excusant. « Désolé, il y avait des bouchons ! » C'est l’animateur « Je m’appelle Ronald. Puisque ma collègue vous a déjà briefés, on va pouvoir commencer. »
Il est à présent plus de 9h. L’homme rappelle une dernière fois qu’ils ne sont ni juges, ni policiers. « Nous n’avons pas la prétention de vous former » , renchérit Valérie. « Nous sommes d'abord là pour vous donner des informations. Il ne dépend que de vous de faire un bon stage. » Là-dessus, les animateurs demandent aux stagiaires de raconter la raison qui les a ammenés ici, combien de points il leur reste sur leur permis et quel est leur dégré d'expérience sur la route.
UN TOUR DE TABLE PRODUCTIF
L’assemblée se dévisage. Qui va commencer ? Au final, Patrick, 45 ans, se lance. Ce cadre supérieur a perdu 6 points en se faisant contrôler avec un taux d’alcoolémie de 0,36 g/l. Brice, 26 ans, a été pour sa part contrôlé avec 1,7 g/l. Son permis a été invalidé et il est même passé en jugement. Pour Xavier, un VRP de 47 ans, feux rouges et petits excès de vitesse ont eu vite fait d’entamer son solde initial de points...
La sauce à l’air de prendre. L'ambiance est bon enfant. Les stagiaires interrogent celui qui se présente, le raillent même parfois. Les animateurs se servent de l’expérience des stagiaires pour les provoquer, les faire réagir. Chacun s’accorde pour fustiger le système du permis à points et les policiers. « C’est un piège à fric. » « Quand j'ai été arrêté, les flics étaient cachés derrière un buisson. » « Ils ont grillé un feu rien que pour moi, parce que soi-disant je serais passé à l’orange-rouge. » En somme, les stagiaires se sentent bien davantage victimes que fautifs. Fin du premier jour.
La seconde journée, l’ambiance est nettement plus détendue. Vidéo, images, statistiques et études d’accidents sont venus renforcer les propos de Valérie et Ronald. « S’il y a un panneau à 110 au lieu de 130, c’est pas fait pour vous embêter ! » , assure Valérie. « C’est parce que s'il y a un grain de sable, comme une voiture en travers, vous pourrez alors vous arrêter à temps. Car si vous arrivez trop vite, vous serez alors en situation d’urgence et le choc violent est inévitable. »
LES VOITURES EN CAUSE
« Mais alors, pourquoi font-ils des voitures si puissantes ? » lance un stagiaire. Ronald répond, un sourire au coin des lèvres : « Peut-être parce qu’ils pensent qu’il y a quelqu’un derrière le volant… » La discussion s'anime, les échanges musclés vont bon train.
Si le stage a mis du temps à démarrer, il s’est ensuite déroulé très vite. Il est 17h, la fin approche. Dernière étape, remplir un questionnaire d’évaluation du stage. Aura-t-il un effet sur leur conduite future ? Pour Sonia, la réponse ne fait pas de doute. Les images qu’elle a vues lui ont fait peur. On ne l’y reprendra plus ! Sylvain a lui été plus impressionné par le détail "froid" des accidents et les statistiques. David pour sa part, n’a pas attendu ce stage pour modifier son comportement. La dernière amende l’avait déjà bien calmé.
Paroles en l’air ou réelle volonté de changer son comportement ? Pour Valérie, «C'est sûr, on en ressort "changé". Certains mettront plusieurs jours à réagir, d’autres prendront conscience immédiatement, dès la sortie du stage. Mais, c’est compliqué de faire des efforts.Avant de conclure, sur une note d'espoir : "On ne peut pas tout changer d’un seul coup mais petit à petit, c’est faisable.» Puis chacun de repartir, crédité de 4 nouveaux points sur son permis...**(Source prise sur Auto News)
Pontoise (95), lundi matin, 8h15. Dans la fraîcheur matinale, un groupe fait les cent pas devant l’entrée d’un hôtel. Une seule femme au milieu de tous ces hommes. Nous sommes sur le perron du CER Bobillot qui organise des stages de récupération de points de permis de conduire. Les stagiaires sont relativement jeunes : entre 25 et 50 ans, et le jeans-baskets côtoie le costume-cravate. Chacun a payé 260 euros et attend, apparemment sans stress, l’arrivée des formateurs.
Justement une petite brune approche, sacoche à la main. Elle fait partie de l’organisation. Direction la salle de cours. Là, des tables en U font face à un rétroprojecteur et à un paper board. Loin de l’atmosphère nostalgique des bancs de l'école, la pièce - carrelage beige foncé et plafond parsemé d’ampoules nues - distille une ambiance plutôt froide, neutre pour le moins.
2 ANIMATEURS, 18 PARTICIPANTS
« Bonjour, je m’appelle Valérie et je suis votre formatrice. Désolée, mais on attend le second formateur et le directeur avant de commencer. Malgré les embouteillages, ils ne devraient plus tarder. » Dynamique, la jeune femme enchaîne sur les formalités du stage. Pragmatique, elle demande à chacun d'inscrire son prénom sur un chevalet. Le Directeur du Centre arrive enfin. Il récupère immédiatement les convocations et s’occupe de la paperasse pour que les stagiaires récupèrent leurs 4 points sur leur permis de conduire dès la fin du deuxième jour. L’ambiance commence à se détendre et chacun entame la conversation avec son voisin.
Un homme d’une quarantaine d’années, cheveux grisonnants, entre en s’excusant. « Désolé, il y avait des bouchons ! » C'est l’animateur « Je m’appelle Ronald. Puisque ma collègue vous a déjà briefés, on va pouvoir commencer. »
Il est à présent plus de 9h. L’homme rappelle une dernière fois qu’ils ne sont ni juges, ni policiers. « Nous n’avons pas la prétention de vous former » , renchérit Valérie. « Nous sommes d'abord là pour vous donner des informations. Il ne dépend que de vous de faire un bon stage. » Là-dessus, les animateurs demandent aux stagiaires de raconter la raison qui les a ammenés ici, combien de points il leur reste sur leur permis et quel est leur dégré d'expérience sur la route.
UN TOUR DE TABLE PRODUCTIF
L’assemblée se dévisage. Qui va commencer ? Au final, Patrick, 45 ans, se lance. Ce cadre supérieur a perdu 6 points en se faisant contrôler avec un taux d’alcoolémie de 0,36 g/l. Brice, 26 ans, a été pour sa part contrôlé avec 1,7 g/l. Son permis a été invalidé et il est même passé en jugement. Pour Xavier, un VRP de 47 ans, feux rouges et petits excès de vitesse ont eu vite fait d’entamer son solde initial de points...
La sauce à l’air de prendre. L'ambiance est bon enfant. Les stagiaires interrogent celui qui se présente, le raillent même parfois. Les animateurs se servent de l’expérience des stagiaires pour les provoquer, les faire réagir. Chacun s’accorde pour fustiger le système du permis à points et les policiers. « C’est un piège à fric. » « Quand j'ai été arrêté, les flics étaient cachés derrière un buisson. » « Ils ont grillé un feu rien que pour moi, parce que soi-disant je serais passé à l’orange-rouge. » En somme, les stagiaires se sentent bien davantage victimes que fautifs. Fin du premier jour.
La seconde journée, l’ambiance est nettement plus détendue. Vidéo, images, statistiques et études d’accidents sont venus renforcer les propos de Valérie et Ronald. « S’il y a un panneau à 110 au lieu de 130, c’est pas fait pour vous embêter ! » , assure Valérie. « C’est parce que s'il y a un grain de sable, comme une voiture en travers, vous pourrez alors vous arrêter à temps. Car si vous arrivez trop vite, vous serez alors en situation d’urgence et le choc violent est inévitable. »
LES VOITURES EN CAUSE
« Mais alors, pourquoi font-ils des voitures si puissantes ? » lance un stagiaire. Ronald répond, un sourire au coin des lèvres : « Peut-être parce qu’ils pensent qu’il y a quelqu’un derrière le volant… » La discussion s'anime, les échanges musclés vont bon train.
Si le stage a mis du temps à démarrer, il s’est ensuite déroulé très vite. Il est 17h, la fin approche. Dernière étape, remplir un questionnaire d’évaluation du stage. Aura-t-il un effet sur leur conduite future ? Pour Sonia, la réponse ne fait pas de doute. Les images qu’elle a vues lui ont fait peur. On ne l’y reprendra plus ! Sylvain a lui été plus impressionné par le détail "froid" des accidents et les statistiques. David pour sa part, n’a pas attendu ce stage pour modifier son comportement. La dernière amende l’avait déjà bien calmé.
Paroles en l’air ou réelle volonté de changer son comportement ? Pour Valérie, «C'est sûr, on en ressort "changé". Certains mettront plusieurs jours à réagir, d’autres prendront conscience immédiatement, dès la sortie du stage. Mais, c’est compliqué de faire des efforts.Avant de conclure, sur une note d'espoir : "On ne peut pas tout changer d’un seul coup mais petit à petit, c’est faisable.» Puis chacun de repartir, crédité de 4 nouveaux points sur son permis...**(Source prise sur Auto News)
Invité- Invité
Re: Stage de récupération de point de pemis
Va p'tet falloir que j'y songe à ce genre de stage moi
SpeCtrE6210- Administrateur
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Re: Stage de récupération de point de pemis
SpeCtrE6210 a écrit:Va p'tet falloir que j'y songe à ce genre de stage moi
Je les deja fait
C'est a faire et a oublié le bébat était a la fin je ne tenait plus.
Dernière édition par le Dim 15 Juil - 12:16, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Stage de récupération de point de pemis
Oué ben quand t'as pas le choix.... Mais ça coûte cher ce truc !!
SpeCtrE6210- Administrateur
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Re: Stage de récupération de point de pemis
Je n'avait pas le choix.
Personnelement moi sa ma couter 230€
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Invité- Invité
Re: Stage de récupération de point de pemis
Sinon j'ai vu que sur internet yavait de sacrés magouilles pour acheter des points lol, mais c'est encore plus cher
SpeCtrE6210- Administrateur
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Re: Stage de récupération de point de pemis
Sa je ne connait pas mais bon, ils y a de nombreuse astuces pour évité le retrait de points. Le flach par la plaque arrire personnellement ne me retirera jamais de points vue que sur la photo on ne voie pas la tète de la personne et que la délation n'est pas obligatoir en france
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Re: Stage de récupération de point de pemis
Oué mais faut bien qu'il y ait quelqu'un qui prenne non ??
SpeCtrE6210- Administrateur
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Re: Stage de récupération de point de pemis
Non c'est radar sont illégaux mais peut de personne sont au courant.
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Re: Stage de récupération de point de pemis
Ha oué ben moi j'le savais pas !!
SpeCtrE6210- Administrateur
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Re: Stage de récupération de point de pemis
La meyeur salution est de respecter le code de la route.
Invité- Invité
Re: Stage de récupération de point de pemis
lmisterjojo a écrit:Non c'est radar sont illégaux mais peut de personne sont au courant.
et par devant il n'y a pâs un truc ? car je crois que je vais bientôt recevoir une petite lettre...
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Re: Stage de récupération de point de pemis
Je le sais qu'ils sont ilego, mais pour faire valoir ca au tribunal, ca coute plus chere d'avocat que de PV
Invité- Invité
Re: Stage de récupération de point de pemis
The shadow a écrit:Je le sais qu'ils sont ilego, mais pour faire valoir ca au tribunal, ca coute plus chere d'avocat que de PV
Oui c'est sur mais qu'elle prix pour gardé c'est points, on devient pourie avec sa les riche son privilégié avec l'ilégalité du permis a point un avoca et 4500 a 5000€ plus tard rien que cela la personne repart au volant de son véhicule, le jugement ne dur même pas 15minute.
Invité- Invité
Re: Stage de récupération de point de pemis
Combien de proprio de Ferrarie paye leur PV?
Aucun, comme les politiciens qui nous pondent ces loi sur la vitesse
Aucun, comme les politiciens qui nous pondent ces loi sur la vitesse
Invité- Invité
Re: Stage de récupération de point de pemis
The shadow a écrit:Combien de proprio de Ferrarie paye leur PV?
Aucun, comme les politiciens qui nous pondent ces loi sur la vitesse
Ferrarie il paye bien et se ...... des points si il en ont plus il paye l'avocat qui a trouvé la faye et c'est tout il peux continué tout surement a roulé comme un malade.
Les politiciens pour y etre placé paye leur amende des radar automatique et il n'y échappe pas a par biensur sur les photo par derrière, il y echappe le plus souvent quand il montre leur cocarde république française cela passe dans 95% des cae les 5%qui reste il n'y echappe pas non plus.
Invité- Invité
Re: Stage de récupération de point de pemis
Vive les voitures de luxe et les portefeuilles bien plein.
Invité- Invité
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